somewhere-over-the-rainbow

Skies are blue...

Samedi 8 mai 2010 à 8:49


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Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime Je t'aime.....




C'est con, mais à part comme ça, je ne sais plus comment te le dire. Je ne sais plus ce que ça veut dire. C'est tellement faible, ce mot. "Je t'aime"...
C'est tellement courant, tellement dit, et redis, en toute circonstance, pour rire ou sérieusement, crié ou murmuré, en français anglais chinois allemand espagnol russe breton suédois, écrit noir sur blanc, banc sur noir, en couleur, par sms, mms, mail, msn, c'est tellement inexacte, ça fait tellement mal, ou tan de bien, ça déchire ou ça recoud, ça fait rire, ça fait pleurer, ça fait vivre, ou mourir, ça change rien, ou ça change tout, ça gratte ou ça caresse... ça fatigue ou ça fait voler. Que l'on aime un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, ça reste pareil, un vulgaire "je t'aime" et tout est dit... ça fait fuir, ça retient. Ca comble, quand on a rien à dire.

Le mien renferme tant de chose. Nos souvenirs, nos projets, nos rêves, nos envies, nos baisers, nos rires, nos larmes, nos disputes, réconciliations, nos secrets, tous nos silences, toutes nos promesses, tout mon Moi, tout mon être mon âme, mon coeur, mon corps, mes pensées, mes ambitions. Toi, toi, toi, toi, toi, toi, toi, toi, toi...et toi, encore. Ma peur de te perdre, mon bonheur de t'avoir. Mon appartenance à tes beaux yeux, à tes sourires, à ta belle âme. Tant de choses que je voudrais te dire, tout ce que l'on a encore à faire et à partager. Ma jalousie, et toute ma tendresse. Ma fatigue et mes espoirs. Mon Espoir. Ma force, Notre force. Mon amour, indescriptible, pur et infini. Mon amour. Mon amour, mon amour....mon amour.
Ma vie que je te donne.

Il y a tout ça. Mais ce mot, aussi petit soit il, aussi commun... ce mot, c'est tout ce que je peux t'offrir. A toi d'y lire tout ça entre chaque lettre, entre les fibres de souffles au travers desquels je te les livre, toute ces merveilles.


J'espère que tu sauras trouver, derrière la faiblesse de ce mot, se faufilant d'entre mes lèvres mais venant du plus profond de mes tripes, toute la force qui le forge.

Je t'aime...

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Avec toutes mes tripes... Moi même

Vendredi 7 mai 2010 à 11:14

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C'est drôle.
Il y a ces gens qui suivent notre routine comme si nous avions le même chemin à suivre, ceux là avec qui l'on passe notre temps parce qu'ils sont là, ceux là qui sont "tout près" et que "très loin", ne changerait pas grand chose.Ceux là dont on connait la vie, à force de la partager, même superficiellement.  Ceux là qui sont dans certains de nos souvenirs, agréables ne le nions pas, mais pas les plus sulfureux non plus. Ceux là qui... nous apportent ils quelque chose ? Peut être que notre relation ne devient qu'une habitude. Surement.

Et il y a ceux que l'on croise lors d'une journée ensoleillée, puis qu'il faut quitter. Ceux là que l'on ne connait pas mais qui ont chamboulé quelque chose à l'intérieur, et qui nous manquent. Qu'on apprend à connaitre, de près ou de loin. La distance efface l'ennuie. On ne se lasse pas.

Et encore, il y a ceux là, ceux que l'on rencontre superficiellement, et qui comme nous, collés à leur écran, laissent les secrets de leur âme naître à travers des confessions et des mots timides, destinés à toute une horde d'inconnus, dont les jugements n'atteignent rien ni personne, et au contraire, les admirations ou les compassions font chaud au coeur.
Ceux là qui écrivent, que l'on ne connait qu'à travers ça, les mots. Leurs mots. Pas ceux qu'ils soufflent doucement pour être accordés avec leur sourire -habitude-, mais ceux qu'ils crient sincèrement, comme une liberté.



C'est comme ça que je la connais. Jamais vue. Jamais entendue. -ça ne saurait tarder... . Mais lue. Et relue. Touchée par ses pensées, les vraies. Et c'est ainsi que j'aime la connaître.

De la même manière elle lit mes confessions, mes souffles spirituels. J'ai pris goût à ne pas aimer ce que j'écris. A me trouver pitoyable. Mais cette Belle Âme caresse cette infériorité qui m'agrippe et à ma grande surprise, elle desserre ses griffes. Quel apaisement. Grâce à elle, je doute. Je doute que ce soit ni nul que ça, même si je n'en suis pas si sur, encore...

Je voudrais simplement, avec des mots comme ceux avec lesquels je l'ai rencontrée, lui dire un grand Merci. Merci pour beaucoup beaucoup de choses. Pour me faire sourire et rire, seule, devant mon écran et ainsi me faire passer pour une folle. Merci pour me faire rêver chaque nuit à l'invention des "atebas chocolat kinder", pensée qui m'obsède radicalement à présent !
Merci pour ces larmes qui m'ont prises, dans le train, à la lecture d'un petit article à mon égard... Merci.

J'aimerais l'embrasser sur la joue, avec mes lèvres et mon sourire. Mais peut être qui si elle la colle à l'écran à peut marcher... en attendant, je le fais avec les mots... !

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