somewhere-over-the-rainbow

Skies are blue...

Mercredi 1er juillet 2009 à 22:14


http://somewhere-over-the-rainbow.cowblog.fr/images/SDC10312.jpgAujourd'hui, J'ai touché le bonheur du bout des doigts....



Si on m'avait dit que le bonheur n'était pas cette chose inaccessible que l'homme recherche tout au long de sa vie sans finalement, vraiment se satisfaire, ni le trouver, je ne l'aurais pas cru. Si on m'avait dit que ce n'était pas cette étoile que l'astronaute rêve d'atteindre tout en sachant sa conquête impossible, je ne l'aurais pas cru non plus.

Aujourd'hui, c'est différent.

Je crois que le bonheur naît dans les choux et les roses. Il pousse sur les branches, se faufile entre les feuilles. Il est dans chaque croc d'une pomme verte, dégustée en plein soleil.
Il est là alors que nous ne le soupçonne même pas. Mais il se manifeste en nous chatouillant, d'où naissent des éclats de rire, des sourires. Une ambiance magique.

Les miettes de ces éclats ont été ces millions d'étoiles dans le ciel noir, ce soir là.

Je pourrais dire que j'ai plus vécu en quatre jours avec Eux, que jusque là. Je pourrais dire ça oui, car c'est cette impression là qui se déverse sur moi. Douce et rafraîchissante. Une bouffée d'air pur.

La maladresse de mes mots ne me permet pas de les remercier correctement. Dommage. S'ils se bousculaient un peu moins, j'aurais peut être pu essayer...

Je marche. Quelque chose me gène dans ma chaussure. Je m'assoie et la retire, puis la retourne et tape doucement dessus. Les dernières miettes de poussière de sable en tombe... je souris. Je suis heureuse. Merci.

"Ne pleure pas parce quelque chose est terminé, mais souris parce qu'elle a eu lieu"

http://somewhere-over-the-rainbow.cowblog.fr/images/butchtrain.jpgLe voyage commence... on court à travers les paysages pour aller Vivre.


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Le célibat. Une carapace. Pourquoi ?
Pour me protéger. Pour les protéger. Ne pas trop s'attacher, pour ne pas avoir trop de chose à détacher, ne pas avoir trop de choses desquelles il faut se séparer. Pour ne pas Perdre trop, tout simplement.
Je veux juste faire le moins de mal possible. Qu'on m'aime sans trop m'aimer. Qu'on me remarque tout en étant discrète. Qu'on me regrette sans trop me regretter.
Je veux juste qu'un jour, mon Adieu sonne comme un Au revoir. Et que tous l'entende comme ça.
Mais pour ça, il ne faut pas trop s'attacher. Juste un peu. Juste ce qu'il faut.


Je ne veux pas vivre, ou finir de vivre, seule. Ce n'est pas mon but, mon désir. Je veux vivre le plus possible avec tous. Tout ceux là, ceux que j'aime.
Mais je ne veux personne trop proche de moi. Je veux imposer une distance. Et de cette distance, j'aurais le pouvoir d'être spectatrice de la vie. Je prends du recul et regarde. Je scrute chaque détail. Chaque détail, afin de m'en souvenir, comme quelque chose de propre, à chacun.

"On voudrait songer à des choses nobles, ce mot, des choses nobles, et on se laisse glisser vers des détails, les détails imbéciles au milieu de ce qu'on voudrait être les heures les plus importantes de sa vie, on imagine ça, toujours on imagina ça, les heures les plus importantes de sa vie...Je reste préoccupée par cette question, ces détails imbéciles et j'ai tort, je ris, je crois bien, et je ris d'avoir tort, et pourtant de ne pouvoir m'éloigner de cette idée."

Jean Luc LAGARCE - J'étais dans ma maison et j'attendais que la pluie vienne.



Je ne veux être indépendante.

Je ne veux pas des "je tombe, tu tombes". Ridicule. Aucun sens.
"Je tombe, tu restes debout et continues d'avancer tête haute". Plus correct selon moi.

Un peu comme si je montais en haut d'un rocher, et que je les regardais, en bas, vivre.
Les observer. Voir, apercevoir la vie sans moi. Leur bonheur fait le mien. Et je souris.

Mais je reprends mes esprits. Je descends de ce rocher, et les rejoints. Je suis là, je veux profiter d'eux tous. Sans exception.

Merci à tous. Merci de me permettre de Vivre.

http://somewhere-over-the-rainbow.cowblog.fr/images/butch1.jpg1h35 du matin. Macdonald's. On prend des forces, on a encore de la route à faire....


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Récit d'une conquête.



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GayPride...


Après 1 année d'attente, le joue J était enfin là, juste là. Nous étions toutes portées par une euphorie des plus incroyable. Les chars défilaient, la musique abondait, les gens dansaient. Ils étaient heureux, et nous aussi. Nous, surtout.
Nous étions ivre de bonheur. Les quelques bouteilles ont aussi contribué à cette ivresse, mais le bonheur et cette béatitude, légère, y étaient pour beaucoup. Nos lèvres ne cessaient de sourire, toutes seules. Nos yeux pétillaient sans répit. Notre coeur battait au rythme de la musique tandis que notre respiration s'accélérait, ralentissait. Le souffle coupé par un trop grande bouffée d'émotion.
Les corps se frôlaient, se touchaient, se frottaient. Au milieu d'une foule immense, nous étions les Reines du Monde. Plus rien n'avait d'importance, rien. Mis à part cet instant.
Il faisait chaud. Le soleil n'avait pas pitié de nous, et se donnait en spectacle, brillant de toute sa beauté. Quel astre Orgueilleux... peut importe. Notre joie de Vivre nous rendait toutes plus belles et plus rayonnantes. Plus lumineuses.

Cette journée fait partie des jours que l'on oubliera pas. Pas seulement parce que c'était la Gaypride, évènement tant attendu. Mais parce que nous étions Tous là. Tous réunis. Parce que vous étiez là.



http://somewhere-over-the-rainbow.cowblog.fr/images/train-copie-1.jpgDans le train. On s'occupe comme on peut... on rêve de ce qu'on veux. On s'échappe où on veut. De toute façon, on arrive bientôt...


On monte dans le train. Un compartiment où l'on s'assoit pour se retrouver face à face, ou côte à côte. On se regarde et on est heureuses, tout simplement.
Chacun s'occupe comme il peut. Certains à travers les mots, d'autres un peu plus modernes se fatigues les yeux à la DS.
Une fois mon livre fini et refermé, j'ai laissé mon esprit s'échapper à travers la vitre. Le paysage défilait, non, s'échappait, à toute vitesse. Pourtant, pour moi, le temps s'était arrêté.
Nous n'imaginions pas encore que nous reprendrions ce train, ou rentrerions chez nous, la tête chargée de souvenirs fastueux.
Le train traversait les villes et ont se sentait comme aventurières.
A nous le monde... !



http://somewhere-over-the-rainbow.cowblog.fr/images/ombres.jpgLes ombres nous suivent partout, prenez garde. Elles nous espionnent.



La nuit tombée, elles sont là. Elle apparaissent sans rien demander. Elle sont là. Les ombres.
Elles nous suivent. Elles sont un deuxième nous. Et pour faire ce chemin du retour, nous étions alors deux fois plus, et nous avons deux fois plus profité, deux fois plus ris, aussi. Nous étions deux fois plus heureux. Et j'ai deux fois plus réalisé à quel point la vie est belle, et le bonheur, simple.
Suivant les railles, (et non les rames, Tsiampa >_<") du tram, nous avons traversé le monde. La nuit nous était présente jusqu'à la fin. Jusqu'au début du jour. Charmante compagnie. Douce présence, que ce voile sombre trempé de petites lumières semblant nous guider.

Le monde dormait pendant que nous vivions. Tous rêvaient les yeux clos, pendant que nous rêvions éveillés.
Tous étaient immobiles, cloitrés dans leur lit, pendant que nous courrions, criions Liberté et planions, cherchant à s'accrocher aux étoiles.
Tout étaient muets, pendant que nous chantions.
Personne n'étaient, alors que nous, nous étions. Nous étions là. Et nous le savions.

Jamais je ne me suis sentie aussi Vivante que cette nuit là.

Jamais je ne me suis sentie aussi bien que ces jours ci...


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Dimanche 10 mai 2009 à 14:14


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Aujourd'hui, j'ai dit "au revoir". Je lui ai dit "au revoir". Au Revoir. Ca veut dire qu'on se reverra ?
Je n'ai pas pu lui dire àDieu, car je ne crois pas en Dieu. Et se donner rendez vous à un endroit qui pour moi n'est que pure fantaisie, aurait été ridicule.
Alors, j'ai dit Au revoir.

J'ai un besoin oppressif de m'isoler, de m'enfermer avec moi même et de me retrouver seule avec mes pensées. Pascal disait que c'était la pire des choses pour l'homme, que de se retrouver seul avec ses pensées, que de le contraindre à les regarder en face et à les assumer. Qu'il fallait être courageux pour se passer de n'importe quel divertissement, pour Penser.
L'isolement, ce mur invisible... L'isolement se promène dans la foule. Mais comme un fantôme. Un mur invisible le sépare des vivants. Une cage de verre, une glace sans tain. On y voit tout, mais personne ne nous voit...

Penser, oui. Penser. Cette pensée m'obcède.
J'ai besoin de m'élever au dessus de tout, de tout le monde, de moi même aussi, et d'être spectatrice de la Vie.
Je dois penser sur moi, sur eux, sur Elle.
Elle, en parlant d' Elle... J'espère qu'elle me pardonnera mes humeurs, mes pulsions solitaires qui m'attrapent parfois et ne me lâchent pas. Et je ne sais pas pour combien de temps je resterai prisonnière de toutes ces questions, et de cette envie de fuir le Monde. J'espère revenir un jour...
Et Elle ne devrait pas m'attendre. Pourquoi toujours attendre ? Et plus on attend, plus on sent le poids du temps. Plus on attend, plus on se sent condamné à attendre. 
Peut-être aurait-il été été plus raisonnable, et moins égoïste de lui souffler :

"Envole toi, envole toi bel oiseau de Paradis. Vas découvrir le monde, vas, ne m'attends pas. J'ai les ailes brisées et ne sais pas si je tiendrai tout le voyage. Sinon, je suis prête pour le grand saut, chute libre depuis les nuages, jusqu'à l'océan. C'est mieux que la Terre aride... Mais toi, vole jusqu'à l'autre bout du Monde. Vole, et ne te pose pas tout de suite. Vole loin, très loin. Qu'ici rien ne te retienne. Change d'univers. Vole mon Amour, devient souffle, ou soit Colombe, pour t'envoler..."

Mais je suis ai dit : Au revoir.


Parfois j'aimerais tout recommencer. Une nouvelle vie, un nouveau départ, de nouvelles bases. Saines. Sans image ni étiquette à me coller dessus.

Tout était clair. Enfin presque. Mais ça l'était assez pour que ça le soit pour moi. Mais je ne sais pas. Je suis sans cesse poussée par ce besoin de me poser des questions, même quand ça n'est pas utile. Et à force, je me suis perdue au milieu de tant de points d'interrogation. Et aucun ne m'indique le bon chemin à prendre, il se demandent tous lequel c'est... (?.. ?)
Alors je ne sais plus non plus. Je ne sais plus si j'ai envie de ne désirer qu'Elle. Si j'ai envie d'aller voir ailleurs. Si j'ai envie d'Aimer. Si j'ai envie d'être Aimée.
Et je ne sais plus non plus si j'ai vraiment besoin des autres. Je ne sais pas si, finalement, je n'ai pas besoin d'Elle, juste d'Elle.
Parce qu'en ne voulant penser à rien, et faire le vide, je ne pense qu'à elle. J'ai ma tête qui tourne, de nos souvenirs heureux. Ivresse nostalgique.
Pardoxale. Car je n'imagine pas demain sans Elle.
Ivresse de remords et de regrets.
L'amour se fâne avec le temps, il se flétri et laisse un sempiternel parfum de nostalgie, flotter. Jusqu'à ce qu'un nouveau vienne le remplacer. Ou pas. Mais quoi qu'il en soit, chaque parfum est unique et rien ne pourra l'effacer pour toujours. Rien ne pourra nier sont existence, même passée.

Je reviendrai quand j'aurais trouvé quelques réponses. Je reviendrai quand les points d'interrogations, se seront redressés, et de leur dos courbé, seront devenus raides comme des piquets, se tenant droit, avec une élégance exclamative.
Je reviendrai... mais pour le moment, je dois panser mon coeur et penser ma vie..

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"J'aime tant la regarder.
La voir sourire.
J'aime tant l'écouter.
L'entendre rire.
J'aime tant la toucher.
La sentir frémir.
J'aime tant en parler.
Et j'aime la lire.
J'aime tant l'aimer.
Nous créer des souvenirs.
Je ne peux pas la quitter.
J'ai trop de choses à lui dire.
Je ne veux pas la blesser.
Mais la voir s'envoler et vivre."


Mardi 28 avril 2009 à 11:59

http://somewhere-over-the-rainbow.cowblog.fr/images/parceque.jpgParce que la vie ne m'a doté que d'un coeur fragile, et indécis.
Parce que même en cherchant, je ne sais toujours pas qui je suis.

Parce que ma beauté n'est faite que de défauts, et mon histoire, d'erreurs.
Parce que j'ai appris seule à lutter contre la peur.

Parce qu'elle est est là, juste là, et moi, je n'ose pas la regarder.
Parce qu'elle me dit que son coeur bat, mais moi, je ne me harsarde pas à l'écouter.
Parce qu'elle a la tendresse même au bout des doigts, mais moi, je ne veux pas qu'elle se risque à me toucher.

Parce qu'elle ne voit pas le danger, et moi je ne veux pas qu'elle se brûle.
Parce qu'elle entourée d'une carapace de rêves et moi, je ne veux pas éclater sa bulle.

Parce qu'elle me tend la main, et moi je n'ose pas la saisir.
Parce qu'elle me dit de rester, mais moi, j'aimerais mieux partir.
Parce que je l'aime à en être égoïste, parce que je pourrais nous détruire.
Et parce que je voudrais qu'il reste quelque chose de nous.

Parce que malheureusement je sais que tout est joué.
Parce que je connais la fin.
Mais aussi parce que j'ai pour toujours sur ma peau l'empreinte de ses baisers,
Et de ses caresses au creux de mes reins.

Parce que
je l'aime à en mourir, mais elle ne le sait peut être pas.
Parce qu'elle est ma raison, mon lendemain, mon idéal.
Mais même le Bien je le fais Mal.
Parce qu'en étant parti de rien, elle est devenu tout pour moi.

Parce qu
'elle m'offre son coeur, et moi, je n'ose pas l'aimer,
Peut être par fierté, ou bien par faiblesse et par peur de tomber.


Parce qu'un jour, j'aurai l'audace de crier
Que plus jamais, je n'aimerai comme je l'ai aimée...



 
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" Regardez-moi, parce que même si je vous crie dessus,
même si j’ai souvent hurlé et pire râlé à tout bout de champ,
même si parfois j’ai été égoïste, égoïste à en mourir, et même si jamais je n’ai su vous aimer ni dire quoi que soit de bon ou de réconfortant quand il aurait fallu être bon et réconfortant,
même si j’ai disparu tant de fois en laissant seule ma propre famille,
même si je n’ai pas été l’ami qu’il aurait fallu être, et que souvent j’ai préféré me plaindre plutôt que vous écouter,
même si souvent ma haine a été plus forte et plus puissante et plus créatrice que tout mon amour,
même si je le sais, même si je n’ai pu porter ceux qui auraient dû être portés réellement et noblement par mon dos et par ma chair et par mon sang et par mon amour et par ma fureur,
même si je n’ai pas su surprendre tous ceux qu’il aurait fallu surprendre pour que la vie puisse enfin encore une fois, encore une petite fois, être un peu, un tout petit peu magique et surprenante,
même si je n’ai pas serré fort la main des nouveaux contre mon coeur et les aimer et tomber définitivement et entièrement avec eux dans la boue et aimer ça la boue avec les nouveaux, même si jamais je ne serai cet homme noble et fort et bon et aimant qu’il aurait fallu être pour que tout ça ne soit pas si long et si chiant, et si sombre, et si…

Je vous ai aimés, mon Dieu comme je vous ai aimés, vous tous là devant moi,
et même si vous ne l’avez jamais senti, mon souffle, il s’est mis dans le vôtre et maintenant que je dois disparaître mon souffle lui sera désormais au plus profond de vous,
mon Dieu comme je vous aime, je n’aurai jamais cessé de vous tenir silencieusement la main, à chaque putain de seconde je me serai mille fois tué pour chacun de vous, mes bons et doux amis, pour vous porter loin dans les siècles des siècles, chacun de vous,
mon dieu comme je vous ai aimés…

Mais maintenant c’est fini. C’est fini.

Pardon, j’ai trop parlé... "
 Vincent Macaigne


   <3 <3 <3 <3 <3 <3 <3http://somewhere-over-the-rainbow.cowblog.fr/images/eyes003sv0.jpg                                                                                                                                         <3 <3 <3 <3 <3 <3 <3

J'ai bien essayé de trouver des solutions. Mais l'amour est il un problème ?
J'ai juste voulu essayer...

Je ne contrôle plus rien. Ni mes sentiments, ni mon désir, ni ma vie. Je ne suis qu'un vulgaire jouet, qu'un " je ne sais qui" se plait à manipuler. Je suis ma propre marionette.
J'ai ce foutue besoin d'aller voir ailleurs, pour me rendre compte que j'ai le meilleur. J'ai besoin de savoir qu'elle est la seule à me faire être celle que je suis.
Mais je suis poussée en avant par une force étrangement intérieur, qui m'oblige à jouer.

Quand on est accro au jeu, y'a plus rien à faire
Sauf peut être, parfois, regarder en arrière..
"Merde, si j'avais su..."


"Et si.....?!" "Et si...." "Et si.... ??!!!!"
"Chut !"
"Pourquoi chut ?"
"Parce que tes Si ne servent à rien. Avec des Si, on pourrait refaire le monde !"
"ça tombe bien.. refaire le monde, c'est ce que je veux.. !"
"..."


Et Si je fonçais, tête baissée ? Et Si je courais, vite, très vite, sans jamais m'arrêter, ni me retourner ? Et Si j'arrêtais de penser, de me noyer, et sortais la tête de l'eau ? Histoire de respirer un peu....
Et Si je trouvais des réponses à mes question ?
Et Si..... Et Si je me mettais à l'aimer, et à accepter d'être aimer ?
Et Si je vivais...non... et Si on vivait ?


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