somewhere-over-the-rainbow

Skies are blue...

Lundi 22 décembre 2008 à 22:38

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Il y a les gens qui se lèvent tôt le matin, qui sortent de chez eux, marchent dans le froid et se serrent dans la moiteur d'un train bondé, où ils auront une à deux heures pour finir leur nuit, ou pour mieux se réveiller, puis qui marchent ensuite jusqu'à leur bureau, où ils s'installent devant leur ordinateur, la veste de leur costume posée sur le dossier de leur chaise jusqu'à ce qu'ils la récupèrent en fin de journée pour rentrer chez eux, manger, et s'endormir devant la télé.

Il y a ceux qui n'ont pas de toit, qui dorment où ils peuvent, ou pas, qui cherchent parfois un biscuit jetté par mégarde dans une poubelle, qui s'habillent pour se protéger et non pour se déguiser, boivent pour oublier, oublier qu'ils sont oubliés et que sans papiers ils ne sont rien, et, dévastés par un sentiment d'indifférence préfèrent finalement se laisser mourir sous le regard fuyant du monde.

Il y a tous les oubliés de la terre, qui vivent très loin, surtout de nos préoccupations, des enfants à l'école de la guerre, des femmes violées, recousues et soumises, des hommes rebelles mais enterrés, tous ceux là qui souffrent dans leur corps et dans leur tête et qu'on aide parfois pour se donner bonne conscience en offrant des clopinettes.

Il y a ceux qui consacrent leur vie à un homme "plus qu' humain", qui prient jour et nuit, agissent selon cette petit voix dictatrice qu'ils entendent dans leur tête, puis finissent parfois par devenir fous, par faire des sacrifices pour attirer la clémence ou par faire s'écraser des avion pour accomplir un certain devoir.

Il y a les sentimentales qui en ont marre de poursuivre un amour qui court trop vite, et qui décident de vendre leur corps, à la recherche d'un peu de douceur et de tendresse, d'amour inespéré, d'un regard attachant pourquoi pas,pour combler le trop grand vide qui s'est installé en elles, qui a commencé par ronger le cerveau, et finit par digérer le coeur.

Il y a les gens qui circulent en gros quatre quatren tous frais payés, bien costumés, leur malette en cuire à la main, étouffés de responsabilités sous la cravate, qui travaillent pour gagner, gagner toujours plus... et leurs enfants les attendent indéfiniment sans jamais les voir rentrer, et la femme vie dans l'ombre du gagneur, argent de poche à volonté, à défaut d'un peu d'attention négligée.

Il y a aussi ceux qui tremblent à l'idée de la mort, qui ne pense qu'à ça jour et nuit, nuit et jour, et qui finalement, à cause de cette conscience de finitude, passent leur temps à l'attendre, oublient de vivre et se noient dans leur crainte.

Il y a celles qui choisissent un amant qu'elles voient régulièrement ou rarement, puis rentrent chez elles, le coeur à peu près racommodé, qui embrasse leurs enfants et disent je t'aime à leur mari sans que celui ci n'adresse le moindre regard, et va se coucher, le coeur en pleure mais une tendre pensée vers leur sauveur.

Il y a les intellectuels qui se creusent les méninges à s'inventer des problèmes, les bien portants qui ont toujours mal quelque part et se bâffrent de médicaments ans l'espoir d'aller encore plus mal, les biens pensants prosélytes qui détiennent la vérité et veulent le faire savoir, les politiques avides de pouvoir qui décident, en toute autocratie, de la vie de leur concitoyens, tous ceux qui vivent les yeux fermés et refusent de les ouvrir, tout ceux qui parlent trop et feraient bien mieux de se taire...




Et il y a... les gens heureux !

Dimanche 21 décembre 2008 à 15:32

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Bon. Imaginons que le coeur est semblable à une feuille de papier. Pure et blanche. Vide, vierge. Qu'est ce qu'on peut faire avec une feuille ? Comment peut-on lui donner vie ? On peut dessiner. Un clown ? Un paysage de rêve ? Un portrait ? Je sais pas. On peut écrire aussi. Ecrire de mots. Des maux aussi, mais pas seulement. Juste, des Mots. Profonds ou superficiels. Doux ou amers. Sucrés ou salés. Délicats ou maladroits. Affables, charmants ou acerbes, importuns. Chauds ou froids.

Tu as pris une feuille. La mienne. Sans me demander, tu me l'as piquée sans aucun droit. Tu as ensuite prit ton stylo, et de ta plus belle écriture, tu y a tatoué des mots bleux, mielleux et dorés. Douceur exquise de la plume qui glisse sur le papier, que l'encre embrasse avec une somptueuse délicatesse. Tu a l'air totalement pris par ce que tu fais, et il semblerait que ce soit ton coeur qui te dicte les mots. Puis tu réfléchis. Tu grifonnes. Tu ratures et barres. Tu recommences. Tu te rends peut être compte que tu perds ton temps. Ce ne te ressemble pas, de mettre tes pensées sur papier. Tu n'es pas comme ça. Alors tu poses ton stylo et tu plis la feuilles. Tu t'appliques. Tu en fait un avion en papier. L'encre n'était pas totalement sèche et a déteinte sur les ailes. Certains mots ne sont plus lisibles, mais l'empreinte que la plume a laisée demeurer sur le papier. Invisible mais présente. Tu n'y penses pas, c'est déjà du passé. Tu vise la corbeille. Tu lances l'avion, qui vole pendant quelques secondes dans les airs. Il ne vole pas très bien, il est trop lourd. Alors tu le ramasse et le froisse. Tu lance. 
Panier.

Jeudi 18 décembre 2008 à 17:31

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[ xxxLes humains ont le don pour désirer ce qui leur fait le plus malxxx ]

Je me suis toujours demandée si les maximes étaient valables pour tous. Je ne sais toujours pas. Mais celle ci, elle me correspond parfaitement, à moi, en tout cas.
Kant m'aurait surement suggéré de me référer à ma raison pour ne pas succomber au penchant, au désire sensible, à la tentation. Epicure m'aurait conseillé de me faire plaisir, car c'est comme ça qu'on atteind le bonheur, il parait.

Je résiste ou je cède ?
Je me résigne ou je succombe ?
La raison ou le coeur ?


Je me demande ce qui est le mieux. Finalement. Vivre une vie droite, plate. Ou avec des pics d'adrénaline. Et des vallée de larmes. Mais toujours avec la possibilité de remonter. Et le risque de retomber aussi.

Kant ? Epicure ? Pascal... " Le coeur a ses raisons que la raison n'a pas... "

Lundi 1er décembre 2008 à 21:56

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  Il n'y aurait jamais de Je t'aime entre nous. Nous nous étions mises d'accord. Même si quelques mots doux nous réunissaient dans de somptueux moments de tendresse, où venaient se méler caresses sensuelles et baisers passionés, nous ne voulions pas nous attacher. Ou plutôt, Elle ne voulait pas s'attacher, déjà fermement liée au terme de Libertinage qui ne la quittait jamais. Elle y était comme ligotée. Ce mot qui la résumait disait elle, était tatoué sur sa peau, et aucun de mes baisers ne pourraient jamais l'effacer. Je le savais. Et moi aussi, ce mot qui m'allais si bien en apparence semblait de pas vouloir se gommer de mon vocabulaire. Ainsi, la parole a été donnée à l'homme pour déguiser sa pensée.. et ce costume me va bien. Cependant, il commence à me géner, à me troubler et me déranger..

Ses mots étaient parfois si étrangers à cette image qu'elle se construisait, et que j'avais d'elle même, à cette débauche dont elle m'avait habituée.

"J'aimerais bien t'avoir rencontrée à un spectacle. Je t'aurais vue danser et je me serais dit "wouah.." . Et puis, à la fin de ta représentation, je serais venue te voir. J'en aurais profité pour te poser des questions débiles... "Tu aimes le chocolat ?" Tu m'aurais répondu que tu adores ça, on se serait donné un rendez vous, on aurait bu un coup.
J'aurais voulu te voir danser et tomber amoureuse de toi sur scène, aussi...
Quand j'irai me coucher, je fermerai les yeux, et repenserai à ton visage et à ton sourire. J'esserai de t'imagine, ou plutôt de te rêver en train de danser.. parmi les étoiles ? A côté de la lune ? J'espère trouver une échelle assez grande pour venir te rejoindre dans les cieux.... "


Je sentais parfois mon coeur s'emballer comme si il me criait quelque chose que je refusais d'entendre. Des mots incensés que je comprenais pas. Que je ne voulais pas comprendre. Pourquoi ? Aucune idée.

Elle était plongée dans son monde qui sentait la poésie et le bonbon. Il transpirait de couleurs toutes aussi belles les unes que les autres, et il y flottait des parfums ennivrants, étourdissants, qui chassaient les idées noires pour les repeindre en rose, en bleu ou en vert. Ses mots étaient doux comme une plume qui glisse avec lenteur sur la peau, et fait frémir de plaisir. Elle était dans son monde. J'avais le mien aussi. Semblable au sien, doux et sucré. Parfois, je la rencontrais en secret. Alors que moi, je n'avais pas ma place chez elle.
Nous prenions du plaisir ensemble, à partager des rires et des regards pleins d'affection. Mais les siens me berçaient subreptisement d'illusions. Alors j'essayais de les ignorer, ou de les imaginer vide.
Elle me demanda de faire attention à ne pas tomber amoureuse. J'acquiesça, bien entendu, persuadée qu'elle aurait pas eu besoin de préciser. Mais avec le temps, ses mots résonnaient dans ma tête, paradoxalement à toute cette douceur qu'elle m'offrait si généreusement. Je m'accrochais à cette dissolution que je m'étais promise de ne jamais quitter pour ne pas avoir à souffrir. M'attacher m'a toujours fait peur, et les rares fois où je me fit prendre dans des filet, j' eu tant de mal à m'en défaire...
Nos conversations me réchauffaient le coeur, certains soirs. Et cette façon si attendrissante qu'elle avait de me regarder, me procurait de délicieuses sensations. C'était vague, je ne pouvait pas y poser de mots. Mais c'était tellement agréable et plaisant.
Les fois où mon coeur se sentit oppressé furent les fois où elle s'ouvrait et me racontait. Cette fille dont elle me parlait avec une adoration renversante et fabuleuse, avait elle seule le pouvoir de lui faire verser quelques larmes. Elle me contait ce vide qu'elle ressentait et qu'elle n'arrivait pas à combler. Elle me décrivait ce sentiment enfouie tout au fond d'elle, et qui la faisait vibrer de temps à autre, lorsqu'elle le ressortait pour le contempler et se rappeler. Elle me retraçait ses plus beaux souvenirs, ceux qu'elle n'oublierait jamais et qui faisaient partie intégrante d'elle à présent. Elle pleurait cette absence insoutenable, abominable, infernale et impossible, qui la rongeait jour après jour sans qu'elle ne puisse rien faire. Elle me disait qu'elle aimerait tant pouvoir oublier et passer à autre chose.
Et moi, j'étais là. J'écoutais. Je ne disais rien, buvant ses paroles sans modération. Je me noyais petit à petit...
J'aurais voulu lui crier d'ouvrir les yeux, de me regarder. J'étais là, moi ! Et c'était pourtant comme si j'étais imperceptible, invisible. Comme si elle ne pouvait pas voir et se rendre compte de ma présence. J'avais l'impression que mes baiser étaient inconsistants, alors qu'elle étaient en fait plein de tendresse. Que les caresses que je lui offrais étaient vaine et superficielles, alors qu'elles ne s'appellaient que Douceur. Que mes mots étaient creux, que mon regard était vide. Mais je ne disais rien, je l'écoutait. Elle n'avait pas besoin de savoir, elle pleurait pour une autre, et moi, mon coeur pleurait pour elle.

"-J'aimerais caresser ta peau, embrasser tes lèvres. Je veux prendre le temps de te connaitre, et faire des choses avec toi. Et ensuite, pourquoi pas, tomber amoureuse... ?

-Tu m'as demandé de faire attention à ne pas tomber amoureuse. J'aurais le droit de désobéir ?

-Oh non, il ne faut pas tomber amoureuse... M'aimer est une mauvaise idée. Je suis volage, tu me connais.."


Je n'avais pas le droit d'espérer qu'elle puisse m'appartenir un jour. Mais elle se l'autorisait. Ce n'était pas juste... Mais je lui avais promis. Et puis, de toute façon, ses mots, ce n'étaient que de belles paroles. Les mots s'envolent dans l'air du temps. Il brillent un instant, font espérer, croire. Puis disparaissent, lâchement. Il s'enfuient et se cachent, là où on ne les retrouvera jamais... De toute façon, je n'avais pas envie de chercher.
Elle vivait comme une adolescente heureuse et épanouie. Elle était différente, et c'est ce que j'appréciais chez elle. Elle avait su garder assez d'imagination pour se créer un monde, et se construire une échelle assez grande pour pouvoir aller flaner sur son nuage. Tant de fois j'aurais voulu la rejoindre ! Mais j'étais persuadée que je n'avais rien à y faire. Elle m'avait choisie pour passer de bons moments, comme Don Juan avait choisi Charlotte, ou Mathurine. Je n'étais qu'un passage dans sa vie, un baiser au milieux d'une vastitude d'autres, un regard parmi des milliers.

J'aurais tellement voulu savoir ce que ça aurait été. Avoir un aperçu de ce que nous aurions pu vivre ensemble. De ce que nous pourrions être. Nous ne vivrons jamais ensemble dans le même monde. Je suis trop sentimentale derière mes regard discrets et insignifiants, trop attachée malgré cette indépendance que je mets en avant. Et elle est trop hargneuse, trop libertine. C'est comme un bateau de croisière qui n'attend pas, naviguant tout feux allumés te résonnant des fêtes qui s'y donne, tandis que la mer, calme ou démontée, conscent à ce qu'on la parcoure. Nous agitons la main depuis nos rivages solitaires, jusqu'à ce que les reflets brillants de l'eau disparaissent en même temps que la musique argentée, et nous nous retrouvons seul alors dans la nuit, sur la terre aride, à poursuivre nos nocturnes explorations sans entraves.

 Il n'y aurait jamais de Je t'aime entre nous. Nous nous étions mises d'accord. Et je me demandais comment elle faisait pour ne pas sentir, lorsque nos regards se croisaient, que je la fusillais d'amour...
Plus tard, j'apprendrai qu'au fond elle le savait. Mais elle avait décidé, depuis le début, de garder les yeux fermés. Pour se protéger elle d'abord.

Le plaisir était toujours le même entre nous. Délectable et savoureux. Mais son coeur, vagabon, un jour, ne revint pas. Une distance étrange s'installa entre nous. A tel point que chacune ses expressions dont je m'étais impreignée,  m'étaient presque devenues inconnues. Jamais je ne l'avais éprouvée si intensément. Je me sentais partir à la dérive, étrangère. C'était une sensation que je ne connaissais pas, mais qui paraissait vouloir m'apprivoiser.
Les moments comme celui là son vrais, et on y survit. Ce sont juste des moments vides de tout sentiments, autrefois si entrepenants. Il sagit simplement de se tenir à côté d'un corps qu'on a plus le droit ni l'envie de toucher. Que l'on soit la personne qui quitte, ou celle qui est quitée. Que nos bras se réclament avec envie et désir, et se rappellent qu'il ne sont plus convoités.
Mon esprit s'enroula autour de la triste nouvelle, comme un animal se mettant en bouledans sa coquille, dure et grise, refusant d'en sortir. Aucune lumière ne l'atteindrait.
Cette impression d'inutilité m'envahissait de plus en plus. Je me sentais tellement vide... comme si j'étais un morceau de tissu troué. Doux, soyeux, rassurant, mais troué de partout. Comme si à trop se servir de moi, elle m'avait usée. Elle le savait bien, et m'abandonnait. J'essayais de me tenir droite, la tête haute, de me sentir grande, même si mes pieds s'enfonçaient dans le sol, qui s'écroulait au fil des secondes.


"-Excuse de ne pas avoir pu te donner ce que tu attendais.Si tu attendais quelque chose, biensur..
 
- Tu m'as déjà donné quelque chose. Un jour, tu ne t'y attendras pas, je me servirai de toi aussi."


Un jour, oui, je me servirai de toi. Un jour, tu verras.. tu seras ma muse.
  "

 

Samedi 29 novembre 2008 à 16:22

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Est ce que c'est possible de se sentir Pleine et Vide en même temps ?
Oui.
Quand on est vide de "plein" et plein de vide...
C'est une sensation assez  paradoxale. Saugrenue.
Comme si j'étais heureuse et triste en même temps. Comme quand j'écoute cette chanson, où l'on parle d'inventer des mots incensés que l'autre comprendra, et où le rouge et le noir n'épousent...
Touchée par la tristesse de ces paroles, mon coeur s'emballe de joie en souvenir d'un bon moment passé à l'écouter, avec toi.


Je tourne en rond. Chez moi, comme dans ma tête. Je m'ennui. J'aime m'ennuyer, parce je prends le temps de réfléchir et de poser mes mots.


Parfois, il vaut mieux ne pas savoir. Mais maintenant je sais. Et je ne peux plus ne pas savoir... voilà qui m'ennui. Je ne sais plus penser, tout s'embrouille. Tout se froisse... à commencer par mon coeur. Puis mon admiration pour Elle. Je dois défroisser la feuille et l'aplatir du mieux que je peux.. mince. Y'aura toujours les plis, les marques...
Bon, je sais maintenant. J'ai découvert. Que faire ? Parler ? Blesser l'un, pour son bien ? Comment peut être faire du mal et dire que c'est pour son bien.. ? Ridicule.
Bon, je me tais. Je ne dis rien. Je garde ça pour moi. J'essaie d'oublier ? Hum... je peux toujours essayer. Même si je sais que ça ne mènera à rien. Tant pis. Je garde ça quelque part au fond de moi. Je le ressortirai un jour, peu être..
Au début, je ne comprenais pas. J'étais en colère. Je la haîssais d'avoir osé faire ça. D'avoir pu Lui faire ça. Mais avec le recule, je ne lui en veux pas, je ne lui en veux plus.
Je suis assez grande pour savoir qu'avec le temps, les sentiments changent.
Aujourd'hui, même si elle l'aime toujours, je sais que ce n'est pas le même Amour.
Elle l'aime, elle recherche juste autre chose aujourd'hui.
Peut-être le bonheur.

"Quoi ! Tu veux qu'on se lie à deumerer au premier objet qui nous prend, qu'on renonce au monde pour lui et qu'on ai plus d'yeux pour personne ? La belle chose de vouloir se piquer du faux honneur d'être fidèle, de s'ensevelir pour toujours dans une passion et d'être mort, dès sa jeunesse à toutes les autres beautés qui nous peuvent frapper les yeux ! Non, non, la constance n'est bonne que pour les ridicules..."
[Don Juan]
Ou pour les innocents, les candides. Ceux qui veulent y croire.
Plus pour moi.

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